Natsu et Happy ont convaincu Lucy d’intégrer leur équipe pour réaliser une quête dont la récompense culmine à 200 000 joyaux. Une véritable aubaine ! Du moins jusqu’au moment où Lucy se rend compte qu’il s’agit de détruire un ouvrage détenu par le comte Ebar, un milliardaire pervers, obsédé et à la recherche d’une servante blonde. L’intrigue devient plus pesante lorsque le commanditaire de la quête, très désireux de voir le livre détruit, monte la prime à 2 000 000 de joyaux. L’aventure prend donc une nouvelle tournure et la fine équipe commence à se demander dans quoi elle s’est embarquée.
Avec ce deuxième tome, on entre clairement dans l’action avec une quête en bonne et due forme. Le comte Ebar, en plus d’être malsain, est vraiment étrange : c’est en tout cas ce que vous découvrirez en contemplant ses goûts en matière de femmes. Quoi qu’il en soit, des rebondissements, de nombreux tunnels creusés – je n’en dirais pas plus –, mais surtout, une histoire de fond. Après tout, qu’est-ce qui peut bien pousser Kaby Melon à offrir une telle somme pour la destruction d’un simple ouvrage ?
De même que pour le premier tome, dont il était question précédemment, ce nouvel opus et tout aussi prenant. Mashima sait nous tenir en haleine tout en nous faisant rire et tout en continuant de construire le background de ses personnages. Une nouvelle tête fait notamment son apparition : Ezra. Il s’agit de la magicienne la plus puissante de Fairy Tail qui, par sa seule présence, son regard et ses cheveux, impose le calme et le silence dans l’ensemble de la guilde. Encore une fois, j’ai beaucoup aimé !
Le Patelinant 